Ah, Joël Dicker je dois vous dire merci ! Bon, soyons clair il ne lira jamais ça, mais quand même. C'est grâce à lui que j'ai écrit l'autre soir. Quand j'ai eu fini son livre (oui, j'ai mis le temps, mais j'ai fait une pause de 3 semaines, mais après en 5 jours c'était plié), je me suis dit "bon sang, mais j'ai envie d'écrire !". Cependant, il n'est pas le seul responsable de cette inspiration retrouvée. Je la dois aussi a une autre, à celle qui m'accompagne dans la vie depuis plusieurs mois, celle qui me donne le sourire, et je veux sincèrement l'en remercier. Alors me voilà de bonne humeur, heureux et inspiré. Que demander de mieux ?
Toujours est-il que c'est justement dans cet état d'esprit que je me suis donc remis a écrire. Encore une autre histoire, encore d'autres personnages, encore un autre format. Le problème, c'est qu'après 2 jours, je n'étais plus sur de sur quoi je voulais écrire. J'ai décidément bien du mal à me poser sur quelque chose de manière définitive. Mon esprit vagabonde, et passe d'une idée à l'autre. Mais j'aime ça. Cependant je dois reconnaitre que cela pose problème sur le long terme. J'ai bien du mal à me fixer sur une chose à la fois depuis que mon dernier projet a magistralement capoté à quelques heures à peine du début de son tournage. C'est un peu un moyen d'éviter une nouvelle désillusion, en laissant des choses à l'état d'ébauche, que dis-je, de vulgaire brouillon, et ainsi ne pas risquer la déception de les voir tomber à l'eau après les avoir préparé pendant des mois entiers.
Mais je crois que la vraie raison de ce manque de "stabilité" est due à mes inspirations qui sont très diverses. C'est vrai ! En l'espace de quelques jours, je passe d'un bouquin contemporain incroyablement bien écrit, à un homme chauve-souris qui me fait rêver depuis que je suis gamin, le tout en passant par le maitre Astier et ses personnages légendaires, qu'ils soient roi de Bretagne ou génial compositeur. Au fond, je n'arrive pas à me fixer sur ce que je veux raconter. Est-ce que je veux raconter un héros ? Est-ce que je veux créer un héros ? Est-ce que je veux simplement raconter une histoire de "monsieur tout le monde" ? Je ne l'ai jamais vraiment su, je crois.
Et vous savez quoi ? C'est sans doute ça mon problème de fond. Pourquoi est-ce que je n'arrive pas a écrire autant que je le voudrais ? C'est parce que je ne sais pas sur quoi je veux vraiment écrire. Je ne manque pas de temps, pas d'idée, mais simplement de ce "truc" qui va me faire dire "mais oui, c'est ça que je veux faire, et rien d'autre". C'est la qu'est sans doute la fragilité de tous ceux qui aspirent a créer, et/ou a raconter. Pour écrire, j'ai besoin de me projeter. D'imaginer, de m'inspirer, sans pour autant ne jamais me contenter de "refaire" quelque chose. J'ai du mal avec l'idée d'écrire une histoire d'un personnage qui ne m'est pas propre, et dont l'univers ne m'appartient pas, et demande donc d'en respecter des codes. Et c'est la raison qui me pousse à m'éloigner d'un univers sur quoi je pourrais aimer écrire, comme par exemple celui de Batman. Je veux que l'histoire les personnages et l'univers soient miens. Mais, il reste un problème a élucidé : Suis-je capable de créer tout cela, et de le maitriser aussi bien que je le voudrais ? Je n'en suis pas si sur. Mais il n'y a qu'un moyen de le savoir. Parce qu'il n'y a que vous qui pouvez me le dire, vous qui jugerez mon œuvre.
Je crois que je n'ai pas le choix, il va falloir que je me jette à l'eau.
Toujours est-il que c'est justement dans cet état d'esprit que je me suis donc remis a écrire. Encore une autre histoire, encore d'autres personnages, encore un autre format. Le problème, c'est qu'après 2 jours, je n'étais plus sur de sur quoi je voulais écrire. J'ai décidément bien du mal à me poser sur quelque chose de manière définitive. Mon esprit vagabonde, et passe d'une idée à l'autre. Mais j'aime ça. Cependant je dois reconnaitre que cela pose problème sur le long terme. J'ai bien du mal à me fixer sur une chose à la fois depuis que mon dernier projet a magistralement capoté à quelques heures à peine du début de son tournage. C'est un peu un moyen d'éviter une nouvelle désillusion, en laissant des choses à l'état d'ébauche, que dis-je, de vulgaire brouillon, et ainsi ne pas risquer la déception de les voir tomber à l'eau après les avoir préparé pendant des mois entiers.
Mais je crois que la vraie raison de ce manque de "stabilité" est due à mes inspirations qui sont très diverses. C'est vrai ! En l'espace de quelques jours, je passe d'un bouquin contemporain incroyablement bien écrit, à un homme chauve-souris qui me fait rêver depuis que je suis gamin, le tout en passant par le maitre Astier et ses personnages légendaires, qu'ils soient roi de Bretagne ou génial compositeur. Au fond, je n'arrive pas à me fixer sur ce que je veux raconter. Est-ce que je veux raconter un héros ? Est-ce que je veux créer un héros ? Est-ce que je veux simplement raconter une histoire de "monsieur tout le monde" ? Je ne l'ai jamais vraiment su, je crois.
Et vous savez quoi ? C'est sans doute ça mon problème de fond. Pourquoi est-ce que je n'arrive pas a écrire autant que je le voudrais ? C'est parce que je ne sais pas sur quoi je veux vraiment écrire. Je ne manque pas de temps, pas d'idée, mais simplement de ce "truc" qui va me faire dire "mais oui, c'est ça que je veux faire, et rien d'autre". C'est la qu'est sans doute la fragilité de tous ceux qui aspirent a créer, et/ou a raconter. Pour écrire, j'ai besoin de me projeter. D'imaginer, de m'inspirer, sans pour autant ne jamais me contenter de "refaire" quelque chose. J'ai du mal avec l'idée d'écrire une histoire d'un personnage qui ne m'est pas propre, et dont l'univers ne m'appartient pas, et demande donc d'en respecter des codes. Et c'est la raison qui me pousse à m'éloigner d'un univers sur quoi je pourrais aimer écrire, comme par exemple celui de Batman. Je veux que l'histoire les personnages et l'univers soient miens. Mais, il reste un problème a élucidé : Suis-je capable de créer tout cela, et de le maitriser aussi bien que je le voudrais ? Je n'en suis pas si sur. Mais il n'y a qu'un moyen de le savoir. Parce qu'il n'y a que vous qui pouvez me le dire, vous qui jugerez mon œuvre.
Je crois que je n'ai pas le choix, il va falloir que je me jette à l'eau.
Imaginairement,